lundi 30 janvier 2012

Les confidences d'Ayden

Productrice et animatrice télé, Ayden débute sa carrière il y a 8 ans, après une formation de journaliste. Elle commence sur la chaîne Télésud, qui lui offrira ses premières opportunités en tant que présentatrice télé. Par la suite elle multipliera les programmes, couvrant différentes thématiques telles que la musique et la mode. Tout au long de sa carrière, Ayden travaillera beaucoup sur le continent Africain, terre qui lui est chère et où elle s’épanouie professionnellement. En 2009, elle créé sa société de production AydenLand… Depuis, l’histoire continue, et en 2011 elle devient un des visages du PAF, en présentant l’émission Star Story sur Direct Star… Ayden nous raconte. 

Ayden, nous sommes ici entre filles et nous savons que tu es une modeuse invétérée, une représentante hors-pair de la féminité et du glamour, parlons donc un peu beauté mode et bien-être… 
 
Tout d’abord, quelle est pour toi la définition de la beauté ? 
 La beauté est pour moi l’équilibre entre l’harmonie des traits d’une personne et ce qui émane de sa personnalité (bonté, grâce, intelligence, esprit).

Quel est ton réflexe beauté du matin ? 
Me laver le visage à l’eau très fraîche avec un gel moussant au Thé vert. Crédit photo :Remy Ramin

Et du soir ? 
 Le soir, je me démaquille à l’Eau Micellaire pour peaux mixtes Biopharma. Elle est parfaite pour peau sensibles, et fait office de lotion tonique en même temps (soit 2 en 1 idéale pour les paresseuses que nous sommes parfois, lol).
Quel est le meilleur conseil beauté que l’on t’ais donné ? 
Sourire et surtout dormir beaucoup. Ce 2e conseil me vient d’Edith Lefel. Elle avait parfaitement raison car quand on dort la peau se régénère sur le plan cellulaire. On évite ainsi cernes, boutons et mauvaise mine en général.
 
Quel est ton make-up fétiche au quotidien ? 
Très léger : une poudre compacte MAC, et un peu de gloss (souvent fruité, ou Glam Shine de l’Oréal). Le soir, j’accentue les yeux, et je peux jouer avec des fards irisés pour l’éclat. 
Crédit photo : Kyato French Kut
Avec un corps comme le tiens, on veut tout savoir, comment prends-tu soin de ta ligne ?
« Un corps comme le mien », c’est gentil mais je peux t’assurer que je suis loin des mensurations d’Halle Berry, lol. Plus sérieusement, j’essaie de manger sain. J’aime les fruits, les légumes, les soupes. J’évite les féculents (riz, pâtes, pain, pomme de terre) ou alors en petite quantité. Et surtout, il faut se dépenser physiquement. Je ne suis pas une grande sportive, mais mes nombreuses activités me prennent de l’énergie, ce qui m’aide à garder la ligne. 
  

On sait que tu es très fashion victim, comment définirais-tu ton style ? 
« Fashion Victim », non, modeuse oui. Mon style s’appelle le Glam Ethnik . J’aime les vêtements de qualité, dans des tons allant de la terre au feu (bronze, marron, or, jaune, rouge, orangé) ou des imprimés africains (batik, pagne), avec des coupes assez sobres et modernes, soulignant la silhouette. Pour les tenues du soir ou de gala, je fais confiance aux grands créateurs africains comme Martial Tapolo, Gilles Touré, Imane Ayissi, Elie Kuame ou encore aux références de la mode italienne et française (YSL, Gucci, Galliano, Fendi, etc…). Je peux trouver aussi mon bonheur dans des boutiques vintages ou Prêt-à-porter grand public. Mais je suis assez fidèle à Xuly Bêt, Sadio Bee, j’aime le style de Bezem & Maïlan, Kréyann, Denis Devaed et bien d’autres. 

Tu pourrais te damner pour… ? 
Un beau sac en python Gucci.

As- tu un petit truc bien-être rien qu’a toi ? 
Ecouter de la musique soul, en dégustant un fruit juteux (Lytchee par exemple). 

Raconte-nous quelle serait ta journée idéale ? 
Une journée avec mon amoureux, sur la plage. Repas de grillade et fruits frais, ap-midi, shopping et visites de lieux sympas, puis concert et soirée avec nos amis. 

Bien sûr, derrière la femme glamour, qui a un petit côté Carrie Bradshaw, il y aussi une bosseuse, journaliste de formation qui est aujourd’hui présentatrice et productrice de nombreux show, parlons-en ! 

Ayden, raconte nous un peu ton parcours, comment en es-tu arrivée là ? 
 Des études correspondant à ce que je voulais puis, beaucoup de persévérance : stages, intérim, petits boulots tout en commençant à travailler gratuitement en télé. La galère financière a bien duré 5 ans, mais m’a permis de faire mes armes, d’acquérir un bon carnet d’adresse. Depuis que j’ai monté ma structure, ma vie a changé. Et j’essaie, avec mon équipe de mettre en avant les talents de la diaspora à travers mes programmes TV et mon magazine. L’intégration de la chaîne Direct Star du groupe Bolloré, a aussi été un tremplin à ma carrière, sur le plan national. 


Comment expliques-tu ton lien si fort avec l’Afrique, sachant que tu es Antillaise ? 

J’ai fait mes débuts en télé avec Télésud, chaîne panafricaine. On était pas mal invité sur le continent, en tournages. J’ai découvert la Côte d’Ivoire, en présentant un programme pour le Ministère du Tourisme et ce fut un coup de cœur. Idem pour le Sénégal, où j’ai été une dizaine de fois pour des festivals et shows culturels. Le Cameroun m’a vraiment adopté. Je me sens aussi bien au Congo, au Bénin, au Togo, au Mali qui est fascinant sur le plan culturel. L’Afrique du Sud m’a épaté. Bref, un continent d’une richesse incroyable, avec des gens ouverts, battants. J’aime aussi l’esprit entrepreneur que l’on trouve sur place, à l’inverse de tout ce que montrent les médias internationaux. Aujourd’hui, je suis certes Antillaise, mais Africaine de par la moitié de mes ancêtres (l’autre étant d’Inde) et aussi de cœur car ce Continent m’a adopté comme son enfant et donné ma chance professionnellement. 


Pourquoi avoir créé ta société de production ? 
Pour l’autonomie, et cesser de ramasser les miettes dans ce métier.

Et le Black Fashion, tu y es la rédactrice en chef ? Comment as-tu abordé cette nouvelle expérience ? 
 Black Fashion répondait à un besoin car aucun titre jusque là n’était spécialisé sur la mode africaine et caraibéenne, avec une diffusion sur 3 continents (Europe, Afrique, Amérique, dont les Antilles). Nous sommes aujourd’hui au numéro 6 (c’est un trimestriel) et je suis heureuse de voir que les créateurs et amoureux de la mode y trouves des articles sur les grands évènements, infos, modèles, shootings, agenda, etc…soit une vraie mise en valeur de ceux qui font avancer ce secteur.
As-tu eu, dans ton parcours professionnel, des moments de doute, des épreuves difficiles à traverser ? Si oui, comment les gérer ? 
Bien sur. Plusieurs fois, mes proches m’ont dit : « tu as un bac + 5, tu es pourtant intelligente, choisis un métier stable, travaille dans la fonction publique, par exemple ». Les contraintes financières auraient pu me faire baisser les bras également. Mais j’avais un objectif, j’ai travaillé, je me suis accrochée et depuis 3 ans, je vis pleinement de ma passion. La chance n’a rien à voir dedans, juste du travail et de la détermination. 


Quelle est la partie de ton métier qui te plaît le plus, avec le recul et l’expérience que tu as acquis aujourd’hui? 
J’aime les échanges humains dans ce métier, et le renouvellement créatif permanent, que je découvre lors des voyages, et à travers le travail de chacun. Après, on est utile, car on aide à faire connaître les autres, et cet aspect me plaît aussi. 

Ta carrière t’impose aujourd’hui un rythme effréné, comment fais-tu pour gérer le stress, la fatigue, les coups de blues ? 
C’est un métier public, mais je passe néanmoins beaucoup de temps seule pour me ressourcer, lire, réflêchir et préparer les projets à venir. Après, avec la foi et l’entourage, ca aide à garder le cap. 

Quelles qualités sont selon toi indispensables pour être journaliste ? 
Il faut une curiosité intellectuelle, lire beaucoup, se former, savoir écouter l’autre. En télé, il y les contraintes de l’image, dont idéalement un physique avenant, un style soigné, une bonne élocution. En presse écrite, il y
a un travail plus en profondeur à mener au préalable, car les écrits restent.
Quel conseil pourrais-tu donner, disons, à une jeune femme, qui comme toi arrive à Paris, pleine de rêves et d’objectifs dans la tête ? 
S’intéresser à tout, se fixer un objectif précis et des étapes pour l’atteindre, ne pas se disperser et bien s’entourer. 

Justement as-tu des projets ? Où allons-nous te retrouver en 2012 ? 
Rendez-vous chaque semaine sur Direct Star pour mon émission musicale Star Story, ainsi que sur TRACE TV, sur l’émission Planète Mode. Il y aura de nombreux évènements culturels et caritatifs prestigieux que j’aurai la joie de présenter en Europe, en Afrique et aux Antilles. Pour plus d’infos, rdv sur mon site web www.ayden.fr et sur ma page facebook Ayden TV. Merci à Activilong de continuer, sur plusieurs générations, à rendre les femmes plus belles ! 


vendredi 27 janvier 2012

Le buzz de la semaine : L’affaire ELLE MAGAZINE


Pour toutes celles qui, trop absorbées par le boulot, la famille ou tout simplement une vie bien (trop) remplie, sachez que cette semaine la planète mode a tremblé ! En effet, le célèbre magazine féminin ELLE du 13 janvier 2012 a publié un article des plus controversés, qui a mis en ébullition toute la toile et au-delà. L’article, intitulé « Black Fashion Attitude » a défrayé la chronique, en traitant un sujet passionnant : la mode au sein de la communauté noire. Malheureusement, bien trop de maladresses et de faussetés on terni cet article qui n’a été l’objet d’un véritable tollé médiatique.

L’affaire a pris de l’envergure, lorsque, face à des propos suspects, proches d’une certaine forme de « racisme », l’incompréhension des femmes noires et de toutes les autres, s’est manifestée. Le lundi 23 janvier d’innombrables réactions sont apparues dans les médias à travers les réseaux sociaux d’abord et plus tard en radio et en presse, notamment via la puissante intervention d’Audrey Pulvar. Cette date marque alors le début d’une véritable vendetta contre le magazine, qui a fait preuve d’une inconsistance notable. Bloggeuses, journalistes, modeuses, elles sont toutes tombées d’accord pour dénoncer une inculture scandaleuse de la part de la journaliste Nathalie Dolivo qui déclare par exemple : « Dans cette Amérique dirigée pour la première fois par un Noir, le chic est devenu une option plausible pour une communauté [noire] jusque-là arrimée à ses codes streetwear » ou encore «Mais si en 2012, la « black-geoisie » a intégré tous les codes blancs, elle ne le fait pas de manière littérale. C’est toujours classique avec un twist, bourgeois avec une référence ethnique (un boubou en wax, un collier coquillage, une créole de rappeur …) qui rappelle les racines)». On pense notamment à la bloggeuse d’Afrosomething, qui s’est véritablement impliquée dans ce combat. A travers une lettre ouverte des plus engagées où elle explique que « les femmes noires n’ont pas attendu l’avènement du président Obama et de son épouse pour s’intéresser à la mode et aux créateurs » mais aussi qu’en tant que femme noire, il ne faut pas tout confondre. « Nous ne sommes pas cette femme noire avec "une créole de rappeur", habillée en streetwear qui semble vous obséder. Nous avons des styles différents comme nous avons des personnalités, des histoires et des références différentes. ».

Par ailleurs, on a également été témoins de réactions virulentes de la part de Sonia Rolland qui à travers son statut facebook a dénoncé un « article réducteur » et d’Audrey Pulvar qui a écrit un billet reflétant sa colère en qualifiant le magazine de « papier de merde ». Ces deux femmes sont évidemment deux personnalités noires incontournables, souvent très engagées, qui n’hésitent pas à faire part de leurs coups de gueule. Bref, il semble donc que le magazine ELLE ai commit une véritable faute professionnelle, inacceptable dans le milieu, qu’il ne suffira peut être pas de corriger avec une page d’excuse. Bien évidemment le magazine a répondu de façon plus sérieuse face à une telle révolte qui ne se réduisait pas à « quelques internautes » comme ils voulaient nous le faire croire au début de l’affaire. La rédactrice en chef du féminin a donné des explications et s’est enfin excusé le mercredi 24 janvier après avoir retiré l’article sur le site internet elle.fr. Malgré une réaction appropriée de la part de la rédactrice en chef, toute la communauté noire et des médias, déplore un tel manque de professionnalisme et de jugement.

Au-delà des propos dégradants, il s’agit surtout pour une journaliste de s’informer sur un thème qu’elle entend décrypter. C’est absolument inacceptable de lire ce genre d’article dans un magazine ayant une telle réputation. La mode est, et a toujours été un « art » universel, permettant l’ouverture d’esprit et le rassemblement des personnes autour d’une passion commune. Terminons ce billet en remerciant particulièrement toutes celles qui se sont impliqué dans cette lutte commune à travers des courriers, des lettres ouvertes, des articles de blog, des statuts facebook… On pense notamment à Mme Ahanda d’Afrosomething, Fatou de BlackBeautyBag, Ayden, Aminata Sakho et bien sûr Sonia Rolland et Audrey Pulvar. Un merci également à toutes celles qui ont partagé l’information sur les réseaux sociaux ; c’est ensemble que nous réussirons à faire évoluer les mentalités, qui hélas, en ont encore besoin.

Retrouvez ci-dessous quelques liens indispensables qui retracent les éléments forts de cette affaire.


Page facebook de Sonia Rolland http://www.facebook.com/#!/pages/Sonia-Rolland/109478879070458

Billet d’Audrey Pulvar http://www.peopleinside.fr/le-billet-daudrey-pulvar-contre-le-papier-de-merde-du-magazine-elle/news/33917

Lettre ouverte d’Afrosomething http://www.afrosomething.com/article/quand-le-magazine-elle-parle-des-%C3%A9g%C3%A9ries-noires-et-tombe-dans-le-racisme-ordinaire


Article Fatou de BBB http://www.blackbeautybag.com/2012/01/honte-elle.html

jeudi 26 janvier 2012

KALEI DO MONDO , le défilé où générosité et beauté ne font qu'un, by SAKINA M'SA










Tout commence en arrivant au Laboratoire, 4 rue du Bouloi dans le 1er arrondissement de la capitale. Une foule de journalistes, photographes et personnalités en tous genres. Il y a aussi une bonne dose de looks plus glamour et originaux les uns que les autres. Toutes ces personnes sont présentes pour Elle, la talentueuse Sakina M'sa, qui nous enchante de son talent à chacune de ses créations. Nous prenons donc place, dans ce lieu, transformé pour l’occasion en véritable temple de la mode, ou flash crépitent et passionnés se bousculent. Les lumières s’éteignent, la musique démarre…

Un premier mannequin donne le ton : cette fois Sakina s’est vraiment surpassée. Les femmes, élancées, métissées, magnifiques et surtout sublimées par les créations de la Petite femme aux mains d’or, se succèdent. La collection respire la puissance, elle est à la fois structurée, étudiée, mais aussi créative et moderne. On s’y voit, dans ces robes de cocktails déstructurées, colorées, graphiques. Dans ses jupes, majestueuses, évasives, légères. Chaque pièce raconte une histoire, non pas une histoire simplement africaine qui rappelle les racines de Sakina, mais une histoire internationale qui rassemble et partage. Les couleurs se mélangent, les formes se divisent, et le talent de Sakina reste. « Des vêtements qui se portent de jour pour réinventer la nuit et la manière de rêver à visage découvert » explique-t-elle, telle une poète de l’art, son art, la mode.

Encore une fois, Sakina M’sa nous donne une leçon de style et de féminité, car oui ses créations mettent décidément en valeur la femme, la vraie. La femme capricieuse et contradictoire, élégante et espiègle, féminine et audacieuse. Et comme si cela ne suffisait pas, Sakina persiste et signe, elle est une femme engagée. Après le défilé en prison et ses nombreuses prises de positions concernant le métissage et la diversité, elle nous assomme lorsqu’on apprend que de nombreux tissus utilisés pour faire naître cette collection précieuse et surréaliste de beauté sont recyclés. Organza, crêpe de laine, faille de soie, autant de trésors que la créatrice a préféré de récupération. Elle désire « réinventer une manière de consommer responsable, de fabriquer made in France, made in Barbès, et d’être profondément soi dans la tendance. Une beauté du geste pour la planète et pour le style. » déclare-t-elle.

Serait-elle inarrêtable dans sa quête du beau? Il semble que Sakina ai adopté comme devise de confondre le beau et le bien, comme véritable essence de la beauté et de la création. Un seul mot nous vient donc à la bouche, Merci Sakina.














jeudi 19 janvier 2012

Objectif : Je réveille ma couleur !

On le sait toutes, la couleur, on l’adore, elle nous permet de changer de look au gré de nos envies, mais problème, elle est capricieuse la coquine et au bout de quelques semaines fait grise mine. L’idée est de la chouchouter et de lui donner un peu de peps, pour qu’elle arrête ses caprices et qu’elle soit belle comme au premier jour. Le jour où tout a commencé ! Mais comment faire justement pour « puncher » les cheveux colorés qui ont perdu de leur éclat ? Comment faire pour réparer des cheveux poreux, affaiblis, sensibilisé et donc indomptables ? On vous dit tout !


Trois règles pour afficher une couleur resplendissante :




1) Préserver !


Eh oui, une couleur, qui est par définition un ornement, a besoin d’être préserver et protégée afin d’être conservée en bon état plus longtemps. L’idée est donc de ne pas délaver la couleur. Pour cela, il est indispensable d’adopter un shampoing ultra doux, peu agressif pour la chevelure et surtout qui ne décape pas cette dernière. Les shampoings sans sulfate évitent de ternir la couleur et l’aident à rester brillante plus longtemps.

On adopte : le shampoing reconstructeur au Noni d’Activilong, parfait pour les cheveux malmenés, sans paraben, sans silicone, anti calcaire, et ultra conditionner.

2) Dompter !


Pour discipliner les cheveux secs et incontrôlables : Apporter de l’hydratation afin de lisser la fibre capillaire qui sera alors nourrie en profondeur + Ne pas oublier les indispensables filtres UV qui permettent de protéger les pigments et de maintenir la couleur + Le réflex « protecteur de chaleur » avant toutes utilisations d’appareils chauffants afin de préserver la couleur mais aussi la santé des cheveux.

On adopte : le spray thermo-protecteur de la gamme ActiRepair, primé aux victoires de la beauté 2010-2011 !



3) Faire briller !

Parfait pour les cheveux méchés ou colorés, le voile de brillance est indispensable pour terminer vos coiffures. Il apporte douceur et éclat aux cheveux et la petite touche glam qui rend votre chevelure tout simplement irrésistible !

On adopte : le voile de brillance et de nutrition NUTRISOYANCE d’Acitivilong qui offre un rendu impeccable et une odeur délicate d’été.

mercredi 11 janvier 2012

Florence Naprix nous raconte sa vision de la beauté !

Florence Naprix, jeune chanteuse qui évolue sur la scène caribéenne a commencé la musique depuis maintenant une dizaine d’années. Elle a d’abord débuté par le live sur les petites scènes parisiennes. Florence a ensuite décidé de commencer une carrière solo et s’est entourée de plusieurs musiciens, dont Stéphane Castry, afin de réaliser son premier album Fann Kann, qui devrait sortir début 2012. Le premier extrait, Formataj, est disponible à la vente sur les plates-formes de téléchargement légal, à l’écoute sur plusieurs sites internet.




Parlons Cheveux


Plutôt Naturels ou Défrisés ?
Naturels ! J’y tiens . D’abord parce que je trouve que les cheveux naturels se prêtent souvent à tous types de coiffure ou presque, et que, bien entretenus, ils sont si beaux ! Ensuite parce que je suis convaincue que le naturel doit être valorisé. En ce qui me concerne, moins j’ai d’artifices, mieux je me sens.

Plutôt tresses collées ou nattes libres ?
Je me coiffe de plusieurs façons en fonction du temps que j’ai devant moi (je me coiffe seule la plupart du temps) ou des circonstances. Un bel afro pour un concert, une crête faite de vanilles et de tresses pour des photos, etc.

Platine ou noir corbeau ?
Pour 2012, c’est rouge flamme !

Court ou long ?
Ils ont été plutôt longs dans ma jeunesse, puis très courts, abîmés par un changement d’environnement. Depuis quelques années, je les porte mi-longs.

Enfin as-tu un produit ou accessoire fétiche ?
Je n’utilise pas beaucoup de produits pour mes cheveux. J’aime que ça aille vite. Mes choix sont donc efficaces et rapides : de l’huile de carapate tout droit sortie du marché de Morne-à-l’Eau et la gamme de produits Actirepair d’Activilong (la totale pour le coup : Oléobain, shampooing, masque-soin…).




Parlons Beauté


Make up plutôt naturel ou sophistiqué ?
J’ai appris très tard à me maquiller et je ne réserve cette grande aventure (interminable, non ?!) qu’aux grands événements (concerts, photos…). J’adapte le maquillage à la circonstance et à la tenue. Il peut être très discret si la robe est déjà fabuleuse. En juin dernier, j’ai incarné une meneuse de revue de cabaret (spectacle Kbaré présenté par Otantika et Soleil Caraïbes). Il fallait un maquillage du tonnerre, Fiona Giuliani s’en est chargée.

Plutôt tons chauds ou froids ?
La couleur, c’est la vie. Rouge, orange, jaune ! J’adore. Le vert aussi, beaucoup. Ou une robe noire avec un collier multicolore… C’est moi.

Make up plutôt sur la bouche ou les yeux ?
Grande question… Si le maquillage doit souligner un attrait, lequel choisir… ? Un beau sourire … Un doux regard… J’accorde autant d’importance à l’un qu’à l’autre.

Enfin as-tu un rituel beauté bien à toi ?
Pas du tout… Je sais que la « beauté » est importante, mais je suis convaincue que c’est le fond qui compte, si absurde que cela puisse paraître. Alors je vais bien sûr soigner ma tenue au moment d’une représentation, mais j’apporterai plus de soins aux répétitions, au déroulement du concert, à l’état de ma voix, etc. Quant à la vie quotidienne, comme je le disais plus haut, moins j’ai à me prendre la tête pour mon apparence (cheveux, mode, maquillage…), mieux je me porte .
Ceci dit, un beau collier ou une belle paire de boucles d’oreilles rehaussent la tenue la plus banale. Voilà mon rituel : au moins 10 min à choisir LE bijou du jour…




Parlons Mode


Plutôt talons hauts ou baskets ?
Baskets pour tous les jours, c’est pratique. Talons hauts pour les grandes occasions et autres opérations séduction .

Plutôt jeans ou robes ?
Réponse très peu originale : jeans en hiver, robes en été ou sur scène.

Plutôt ethnique ou « Frenchie » ?
Plutôt ethnique, pour les couleurs et les formes, les matières, l’originalité… Je me fais régulièrement des petits (pardon, de gros) plaisirs en m’offrant des tenues de créateurs africains ou caribéens.

Enfin as-tu une tenue de scène adorée ?
En général, je porte des robes à cette occasion, d’une part parce qu’elles me laissent libres de mes mouvements, d’autre part parce que je n’ai pas à réfléchir à accorder un haut et un bas, en plus des chaussures et des bijoux.
Il faut que je sois à l’aise, certes, mais il faut aussi qu’elles en jettent, tant qu’à faire ! Looll. Je trouve souvent mon bonheur chez Africouleur, rue Saint-Maur.

mercredi 4 janvier 2012

Quand le Smoothie passe au vert !


L’heure est à la DE-TOX ! Pour rectifier les abus et excès des fêtes de fin d’année rien de tel qu’un bonne cure de Detox pour purifier l’organisme. C’est parti pour le retour d’une peau de bébé et d’une taille de guêpe ! Pour atteindre ces objectifs, on dégaine l’arme secrète, et on prend un vert !
Les stars américaines, Reese Witherspoon en ambassadrice principale, consomment toutes ce breuvage vert pétard, source d’énergie et roi de la detox ! Mais alors que contient cette boisson devenue Star au Etats-Unis, chouchou des healthy girls ??

Le Smoothie vert c’est quoi ?

On connaissait le smoothie banane-fraise ou encore pomme-abricot, hé bien là c’est une version « légumisée » des mélanges de fruits passés au Blender, de plus en plus recommandé par les naturopathes et adeptes de la « raw-food » ou alimentation crue. Aujourd’hui de nombreux blogs sont carrément dédiés à cette boisson verte, qui a également envahi la planète Youtube, où l’on retrouve de nombreuses vidéos de recettes. Aux Etats-Unis, le Green Smoothie a déjà conquis les bars à jus et autres restaurateurs surfant sur la vague du bio-santé ! Concernant la capitale Française, on peut découvrir cette boisson originale au Bob’s Juice Bar dans le 10e arrondissement, et au resto Kitchen dans le 3e !

Alors, on essaye ?




Pourquoi choisir le Green Smoothie pour sa Detox ?

Cette boisson qui jouit d’un mélange équilibré de 60% de fruits maximum et 40% de légumes verts minimum, mixés au blender et dilués avec un peu d’eau remporte la palme des boissons santé ! Les légumes qui sont restés crus, n’ont perdu aucune vitamine et contiennent énormément de micronutriments : minéraux, vitamines, fibres, antioxydants mais aussi et surtout, une énorme quantité de chlorophylle, star de l’oxygénation et de la detox ! Et pour les papilles pas de panique, mixer les légumes avec des fruits permet d’adoucir leur amertume. Quand on est familiarisé avec le goût des légumes, on inverse la balance et on donne un coup de pouce au vert. Que du positif !






Quels ingrédients pour un smoothie deliciouuus ?

60% de fruits : la banane, pour son gout délicat et sa texture onctueuse, le kiwi pour le pleins de vitamine C ou encore l’ananas, la mangue, les fraises pour un goût exotique qu’on adore !
40% de légumes : Epinards, roquette, céleri, laitue, carottes, betteraves, on se lâche ! Il y en a pour tous les goûts ! On hésite pas à mélanger les saveurs et à agrémenter son smoothie de petits extras qui donnent du goût : menthe, persil, coriandre, basilic, gingembre et petites graines en tous genres !



Recettes ?
La recette du Dr Brandt :
Pour un grand verre : le jus de 3 pommes vertes, 1 grosse poignée de céleri, 1 grosse ppoignée d'épinards, 2 ou 3 rondelles de gingembre frais, 1 ou 2 tasses d'eau.

La recette de Karen Knowler :
Pour 2 grands verres : 1 mangue bien mûre, 1/4 d'ananas, 3 dattes, 250g d'épinards, 1 petit bouquet de coriandre, 1 gousse de vanille, 1 tasse d'eau.

La recette de Colette et Nadège Pairain, auteurs de "Incroyables vertus des smoothies verts" : pour un grand verre : le jus de 3 pommes, 1 avocat, 2 grosses poignées de mâche, 1 dizaine de feuilles de menthe fraîche, 1 ou 2 tasses d'eau.
Les filles c’est décidé, A vos Blender !!!!!